Principales conclusions

Principales conclusions

  • Les recherches menées sur l’auxiliaire Psyttalia lounsburyi ont permis d’améliorer très significativement les connaissances sur cette espèce. A noter qu’une thèse est actuellement en cours au sein de l’Institut Sophia Agrobiotech pour documenter des aspects plus académiques (Hugo Mathé-Hubert, Université de Nice Sophia-Antipolis) ;
  • D’un point de vue agronomique, les possibilités d’installation durable de P. lounsburyi en France restent toutefois très incertaines et cette piste sera définitivement abandonnée si les essais actuellement en cours ne donnent pas de résultats positifs ;
  • Le fort investissement sur des études de terrain a conduit à développer des recherches sur le rôle réel des parasitoïdes indigènes. Les premiers résultats mettent en évidence une diversité spécifique inattendue au niveau du genre Eupelmus. Des travaux sont actuellement en cours sur la systématique et l’écologie de ce genre. D’un point de vue appliqué, ils permettront d’évaluer dans quelle mesure une diversification végétale dans et autour des oliveraies peut effectivement contribuer à la régulation de la mouche de l’olive. Ces travaux devraient se poursuivre à minima durant les 2 prochaines années.